Qu’as-tu donc fait immonde personnage
A ces enfants purs qui se voulaient si sages?
En assouvissant ta putride bestialité
Leurs vies à jamais tu as pourries et ruinés
Fallait-il vraiment que tu touches ces innocents
De tes mains sur lesquelles il y a leur sang
Tu te repais de tes images ignobles et viles
te foutant de ce qu’ils étaient si fragiles.
En toi ils avaient placé toute leur confiance
Tu as mangé leur cœur avec ton arrogance
Tu leur a fais découvrir la peur et l’horreur
Quand tu te prenais pour un être supérieur
Beaucoup d’entre-deux deviendront des grands
Mais de l’intérieur ils resteront des morts-vivants
Regardes ton œuvre, homme assoiffé de malheurs
Ecoutes ces enfants, et leur âme qui pleure
N’auras-tu donc jamais aucun réels remords
De les avoir laissé un jour pour mort?
Comment as-tu fais pour salir durant des jours
Ces merveilleux fruits issus d'un grand amour?
Qu’ont-ils donc que n’ai nulles femmes
Pour qu’ils attisent en toi cette flamme?
As-tu donc à ce point manqué de tendresse
Que pour te combler il faut que tu les agresse?
Je n’ai pour toi aucune considération
Et pour la bête que tu es ,la seule solution
Serait pour perpétuité te laisser enfermer
Mais la justice te laissera recommencer…
Ta place, n’est déjà plus parmi l’humanité
Tu n’as pour eux aucune réelle pitié
Et pour tous ces enfants que tu as assassiné
Il faudrait qu’à jamais tu sois torturé
Par les cris de douleurs de parents en souffrance
Lorsque l’on met en terre une si belle innocence
Mais là encore la justice te protège de la haine
De tous ces malheureux qui n’auront plus de « je t’aime »…….
A ces enfants purs qui se voulaient si sages?
En assouvissant ta putride bestialité
Leurs vies à jamais tu as pourries et ruinés
Fallait-il vraiment que tu touches ces innocents
De tes mains sur lesquelles il y a leur sang
Tu te repais de tes images ignobles et viles
te foutant de ce qu’ils étaient si fragiles.
En toi ils avaient placé toute leur confiance
Tu as mangé leur cœur avec ton arrogance
Tu leur a fais découvrir la peur et l’horreur
Quand tu te prenais pour un être supérieur
Beaucoup d’entre-deux deviendront des grands
Mais de l’intérieur ils resteront des morts-vivants
Regardes ton œuvre, homme assoiffé de malheurs
Ecoutes ces enfants, et leur âme qui pleure
N’auras-tu donc jamais aucun réels remords
De les avoir laissé un jour pour mort?
Comment as-tu fais pour salir durant des jours
Ces merveilleux fruits issus d'un grand amour?
Qu’ont-ils donc que n’ai nulles femmes
Pour qu’ils attisent en toi cette flamme?
As-tu donc à ce point manqué de tendresse
Que pour te combler il faut que tu les agresse?
Je n’ai pour toi aucune considération
Et pour la bête que tu es ,la seule solution
Serait pour perpétuité te laisser enfermer
Mais la justice te laissera recommencer…
Ta place, n’est déjà plus parmi l’humanité
Tu n’as pour eux aucune réelle pitié
Et pour tous ces enfants que tu as assassiné
Il faudrait qu’à jamais tu sois torturé
Par les cris de douleurs de parents en souffrance
Lorsque l’on met en terre une si belle innocence
Mais là encore la justice te protège de la haine
De tous ces malheureux qui n’auront plus de « je t’aime »…….
